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La République des Hommes Libres

La République des Hommes Libres est un lieu où règnent la démocratie, la liberté individuelle et l'innovation. Fondée par des dissidents de l'Empire, elle est devenue un refuge pour ceux qui cherchent à échapper à l'autorité impériale. Dans cette république, le commerce, l'art, et la science prospèrent, attirant les esprits libres de tout Nirnheim. Les inventions y sont monnaie courante, et la République est souvent à l'avant-garde des nouvelles technologies et idées. Les habitants de la République sont farouchement attachés à leur indépendance et se méfient des ingérences de l'Empire. Ils valorisent la liberté d'expression et l'autonomie personnelle, ce qui fait de cette nation un endroit où l'innovation et la créativité peuvent s'épanouir sans contraintes.

Naxio Ventrelli

Banquier en chef de la Nouvelle Ambre

Naxio Ventrelli est un homme à l’élégance discrète et aux manières mesurées, originaire de la République des Hommes Libres. Toujours vêtu de costumes impeccables taillés dans des étoffes importées, il dégage une aura de calme inébranlable — celle d’un homme habitué à manier les dettes comme d'autres manient l'acier. Derrière son regard perçant et son sourire feutré, on devine une intelligence redoutable et une mémoire capable de rappeler chaque crédit, chaque faveur accordée ou due. On dit que Dario connaît la valeur de chaque âme qui franchit les portes de la Nouvelle Ambre, et que même les criminels les plus endurcis évitent de lui devoir quoi que ce soit. Dans un monde où l’or et l’influence sont aussi tranchants que les lames, il est sans doute l’un des hommes les plus dangereux de la ville — sans avoir jamais eu besoin de lever la main.

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Oixan Ventrelli

Ministre des Finances de la République des Hommes Libres

Officiellement, Oixan Ventrelli est un homme d’État moderne, courtois, au service de la stabilité économique. Il gère avec efficacité la plus puissante institution bancaire du monde connu et veille sur les coffres de la République comme sur sa propre respiration.

Officieusement, il organise le nerf de la guerre à l’échelle continentale. C’est par ses ordres que les dettes sont effacées, que les fortunes s’effondrent ou s’élèvent. Aucun conflit, aucun traité, aucun investissement d’envergure n’échappe à sa connaissance — voire à son orchestration. Ses réformes sont saluées pour leur efficacité, mais redoutées pour leur discrétion : tout semble contrôlé, même l’imprévu.

Blason Maison Atreyan

Ordre des Chevaliers de l’Échine Grise

Anciens nobles impériaux devenus défenseurs de la République, ces chevaliers déchus ont traversé l’Échine Grise pour servir un idéal plus grand que l’Empire. Rigides, incorruptibles, et redoutés, ils veillent sur la République comme sur une promesse faite dans la cendre.

Blason Maison Kraith

Consortium Monétaire Républicain

Réseau de banques tentaculaire contrôlant les prêts d’État, les dettes commerciales et l’économie du continent. Dirigé par Oixan Ventrelli, ce groupe n’a pas besoin d’épée : sa plume suffit à faire ou défaire des nations.

Blason Maison Valton

Agence Libre de Presse Révolutionnaire (ALPR)

Fondée pendant la Révolte Bourgeoise, l’ALPR est devenue le cœur battant de l’information libre. Elle combat la censure, surveille les puissants, et défend la mémoire des idéaux révolutionnaires. Elle siège pour que la vérité ne soit jamais vendue.

Blason Maison Manneren

Chambre des Métaux et Forges Républicaines

Syndicat des grands industriels de l’acier, du charbon et des locomécaniques. Leur acier construit les villes, protège les convois… et écrase parfois la contestation. Ils siègent pour que la République reste solide — au sens très concret du terme.

Blason Maison Myras

Université Civique des Sciences Libres

Centre intellectuel de la République, où se croisent ingénieurs, mages théoriciens et philosophes politiques. Elle protège la raison contre l’ignorance, la recherche contre la censure, et la science contre le fanatisme.

Hymne de la République – Paroles ci-dessous…

Sous ciel ouvert, sans trône ni couronne,
Nos voix s’élèvent, libres et sans chaînes.
Ni dogme ancien, ni fer qui nous façonne,
Juste nos mains, nos mots, nos idées pleines.

Par nous, par choix, par feu sacré,
Nous bâtissons sans nous courber.
Ni dieux, ni maîtres, ni rois de fer,
La République est notre lumière.

La plume gronde, l’engrenage avance,
Le cœur débat, l’esprit forge l’élan.
Chaque débat est notre lance,
Chaque contrat, un serment éclatant.

Par nous, par choix, par feu sacré,
Nous bâtissons sans nous courber.
Ni dieux, ni maîtres, ni rois de fer,
La République est notre lumière.

À qui veut nous soumettre : souvenez-vous,
Nous ne plions que pour ajuster nos outils.
Et même nos doutes sont à nous.

Ils ont brisé les chaînes, levé le pavé,
Le sang sur les pierres a scellé nos idées.
Ni roi, ni maître, ni croix sur nos fronts —
La liberté s’écrit au tranchant des noms.

Par nous, par choix, par feu sacré,
Nous bâtissons sans nous courber.
Car libres nous sommes, et libres nous serons,
Du premier cri jusqu’à la dernière invention.

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